Ce sera jamais

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Chers lecteurs,

Je viens d’être décommandé de Ce soir ou jamais, chez Frédéric Taddeï. J’avais reçu une invitation hier pour participer à l’émission de ce soir, un débat sur l’insécurité avec un sociologue de gauche (pléonasme), Fabien Jobard, accessoirement gendre d’Edwy Plenel. 
C’est la deuxième fois que cette émission annule mon invitation sans raison crédible ni valable. Font-ils des programmes n’importe comment au mépris des invités, ou sont-ils sensibles aux pressions de certains ? 
Quoiqu’il en soit, le climat de guerre civile dans lequel se trouve notre pays n’est pas leur priorité. Parlons du viol, mais en Inde, parlons des militaires, mais en Syrie, parlons de la réinsertion, mais pas des victimes. 
Parlons de tout, sauf de ce qu’on a sous les yeux. Je le dis sans haine et sans crainte, ces gens-là sont en train de créer les conditions objectives d’une guerre civile. 

Victimes, voilà ce que j’aurais simplement voulu vous dire, si l’on m’avait donné la parole : ne désespérez pas. 
Ces gens-là seront balayés par le réel. 

Laurent Obertone

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6 commentaires pour Ce sera jamais

  1. Innocente victime dit :

    C’est surtout Obertone qui fait tout pour se faire passer pour une victime das cette affaire

  2. qu est ce que vous avez tous à casser Obertone, un type courageux honni par tout le système bien pensant de la presse aux ordres ne peut pas être mauvais, je le soutiens totalement! mon blog consacré à l armée française: http://soldatducontingent8308.wordpress.com/

    • LOL dit :

      Ouais ce blog n’est pas consacré à l’armée française c’est le manuel de l’apprenti terroriste et de l’apprenti putschiste qui ne sont pas des défenseurs de la liberté d’expression mais du totalitarisme.

  3. MAS 56 dit :

    http://video.lefigaro.fr/figaro/video/la-polemique-polony-la-france-orange-mecanique/2212092507001/

    Pourtant très mignonne, cette jeune femme, peut-être par peur de ressembler à une paysanne des bords de la Vistule, affecte de se coiffer avec une hache et d’enduire grossièrement son visage de fond de teint et de rose aux joues. Mais cela ne nous regarde pas.

    Ayant succédée à monsieur Z dans l’émission télévisuelle nocturne de l’embrayage (pédale de Gauche), elle nous a habitué à de douces et fines analyses, peu pugnaces mais intelligentes.

    Sa dernière séquence, parue sur le site internètique du journal de l’avionneur militaire, fournisseur officiel de la république, marquerait-elle une interruption intellectuelle de sa matière inter auriculaire ou une obligation de faire allégeance ?

    La caste médiatique ne compte t-elle pas assez de commissaires politiques dont la tâche quotidienne et largement rémunérée est de nier éhontément les réalités les plus manifestes, notamment celui habituellement assis à ses côtés lors de ladite émission ? Ne pouvait-elle prendre la défense du supplicié ou tout au moins apporter quelques constructives réflexions, comme le fait par exemple Élisabeth Lévy ?

    Elle dit d’entrée qu’il y a des parutions qui révèle l’état d’un pays, et que cet agrume à succès du sieur Obertone en fait partie.
    Se montre t-elle satisfaite de cette révélation ? Nullement.

    Elle préfère fustiger l’ergotage, c’est-à-dire la chicanerie par raisonnements captieux, concernant les chiffres de la délinquance. Mais qui chicane, qui est captieux, si ce ne sont les individus comme celui assis à ses côtés lors de ladite émission ?
    Monsieur Obertone ne chicane pas, il rend public ce que ces mêmes individus ne cessent d’occulter.

    Elle ose prétendre que l’exaspération des uns interdit d’aller au fond des choses. Or, c’est au contraire parce qu’une grande partie de la population ne supporte plus cette réalité et le déni systématique de cette réalité, que nous pouvons et devons aller au fond des choses. Cela aurait dû être fait bien avant d’en arriver à cette situation extrême, situation extrême qui a été engendrée par des extrémistes.
    Ce sont ces extrémistes qui interdisent d’aller au fond des choses, et nuls autres. Leur méthode radicale et criminelle consiste à nier l’existence même de ce qu’ils ont contribué très activement à mettre en place ; ils vont jusqu’à interdire de l’énoncer.

    Elle ne qualifie pas monsieur Laurent Obertone d’ennemi du peuple, elle adapte le terme aux lieux et à l’époque, elle le qualifie d’antirépublicain : « Ce livre porte une conception de la société profondément antirépublicaine.». La condamnation est prononcée.

    Que défend Obertone si ce n’est la morale, dont le mot lui même est depuis longtemps banni par les médias ? Cette morale qui préserve de l’ensauvagement qu’il décrit et déplore, et qui a été aussi banni par le milieu de l’enseignement, rebaptisé de l’éducation et qui n’éduque plus personne.
    Quant à la morale des Lumières, de quelles Lumières s’agit-il ? De Voltaire qui aspirait au despotisme, de Robespierre, le plus grand assassin français, ou de Rousseau dont la philosophie révolutionnaire, que nombre considèrent comme immorale, fut prise comme modèle par l’école, mais justement à partir des années soixante-dix et non avant ?

    Pourquoi donc madame Polony lui reproche t-elle de conspuer l’école, qu’elle qualifie de républicaine, alors qu’elle déclare regretter elle aussi que la morale y fut remise en cause et abandonnée dès le début des années soixante-dix ?
    Un peuple sans morale est immoral, et propice à l’ensauvagement. Elle est donc en accord avec Obertone.
    Quand elle écrit dans son blogue : « La transmission, l’éducation et l’instruction, dans toutes leurs nuances, sont les conditions de la survie de toute civilisation ; ce qui nous prémunit contre la barbarie. », elle dénonce l’école de l’actuelle république.
    Elle est encore en plein accord avec Obertone.

    Cette morale, sans même être kantienne, est détestée et dénoncée par les pseudo bien pensants médiatiques, et est à ce point absente qu’elle provoque une dégénérescence intellectuelle de toute la population. Le mal est généralisé.

    Comment alors et pourquoi, comme elle le souhaite, discriminer les crimes de détraqués de ceux de barbares ?
    Les barbares ne seraient ils pas des détraqués et les détraqués des barbares ?
    Faudrait-il analyser les mœurs des prévenus, leur milieu social, leur origine, leur religion, leur mobile, le nombre de coups de couteau, l’âge de leur(s) victimes, pour opérer pareil classement ?
    Serait-il justifié d’établir une catégorie de crimes atroces propres à des nouveaux barbares sains d’esprit, et d’affirmer que d’autres crimes équivalents sont perpétrer par des cinglés ?
    Reproche t-elle à Obertone de mélanger les crimes classiques de souche avec ceux des barbares d’importation ?
    Si tel est le cas, nous apprécierions un exposé appelant plus nettement à la discrimination c’est-à-dire à la distinction, aussi net que politiquement incorrect.

    Obertone n’a jamais nié qu’il y a toujours eu de sinistres criminels, il nous informe simplement qu’il y en a de plus en plus, de plus en plus jeunes, de plus en plus déterminés, qu’ils sont de plus en plus fous, cruels, sauvages, et, ce qui est pire, qu’ils sont en grande partie impunis ou peu punis ou excusés d’avance.
    Et il ose écrire, ce que tout le monde sait depuis des décennies, que la criminalité a crû en proportion de l’immigration, que cette délinquance, par son ampleur et sa nature, martyrise et défigure notre France.

    Madame Polony ne peut reprocher à Obertone de faire l’impasse sur le modèle français d’intégration, celui-ci n’ayant jamais existé. Elle, qui semble tant admirer la république, sans pour autant nous préciser laquelle, oublie que le modèle proposé et imposé aux immigrants était et n’est plus l’assimililation, notion désignant l’action de rendre similaire, semblable, conception très ancienne, essentielle, mise activement en application par la Troisième République.
    Pourquoi reprend elle ce mot, intégration (terme de novelangue destiné à évacuer la notion d’assimilation) qui signifie rendre intègre, rendre entier ?
    Les personnes étrangères à notre civilisation sont elles à ce point désintégrées qu’il faille les intégrer ?
    Madame Polony suggère t-elle de façon très alambiquée que l’assimilation est le seul moyen permettant de contrecarrer une sauvagerie intrinsèque, civilisationnelle ou endogène ?

    Il est indéniable que Obertone ne fait pas partie de ceux qui confonde la morale kantienne et le moralisme des bien pensants règnant sur les médias et la politique, ni de ceux qui se querellent quant aux chiffres (il les révèlent, et c’est à lui qu’on fait querelle), ni de ceux qui trouvent en lui un nouveau fasciste, et pour cause.

    Obertone ne participe donc pas à la disparition progressive de la France vivable, apaisée, et finalement civilisée. Au contraire, il s’en désole et nous en expose un des aspects les plus dramatiques et dommageables.

    Pourquoi lui reprocher alors d’appeler indirectement ses compatriotes à la prise de conscience et à la réaction, pourquoi lui reprocher de contribuer à un drame alors qu’il le dénonce avec courage ?
    Pourquoi lui reprocher de critiquer une école détestable, néfaste, manifestement destructrice (« celle qui a remis en cause la morale des Lumières depuis les années soixante-dix et qui a conduit à l’ensauvagement » nous dit elle), une école qui n’a plus rien à voir avec cette école républicaine, forme obligatoire de l’école antérépublicaine, qui avait tant prouvé sa valeur et ses vertus ?
    Pourquoi lui reprocher l’exaspération qui l’a motivé pour ouvrir le débat en révèlant les données du phénomène, données que ne contredit pas le ministre de l’Intérieur ?
    Pourquoi lui reprocher de constater et de regretter implicitement que le traitement de l’immigration n’est plus républicain, tout en l’accusant d’être antirépublicain ?

    Elle déplore l’abandon de la morale par l’école publique et l’abandon de l’ancienne politique d’assimilation, elle déplore la disparition de notre belle France qui fut si civilisée, et elle s’en prend à Obertone.
    Elle affecte de bien marquer ses distances avec celui dont elle partage pleinement les préoccupations, la principale étant la sauvegarde de notre civilisation et l’avenir de notre peuple.

    Madame Poulemouilly est une victime de la tyrannie médiatique.

  4. Didier dit :

    Vas-y Laurent! On est des milliers à penser comme toi! qu’importe ce qu’ils disent ou pensent, la baffe ne viendra pas de ce qu’ils qualifient comme  »la droite »!

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